Cherchez l’erreur…

Dans le numéro de mai 2017 de « l’Ami des Jardins », page 68, à propos des plantes de bassin on peut lire l’avertissement ci-contre.

Comment le jardinier pourrait-il acheter une plante dont la commercialisation est interdite ? Ce n’est- pas le consommateur qu’il faut culpabiliser, mais le vendeur qu’il faut contrôler !

C’est la même histoire avec ces campagnes visant à diminuer la consommation d’antibiotiques. Ce n’est quand même pas le patient qui rédige les prescriptions d’antibiotiques, c’est bien le médecin. Ce n’est pas le patient qu’il faut culpabiliser, c’est le corps médical qu’il faut sensibiliser.