On apprend ces jours-ci que la baguette est candidate de la France au patrimoine de l’Unesco, tandis que le chicon est inscrit au patrimoine immatériel bruxellois.
Aujourd’hui c’est au tour du jardin de papi Jo de candidater pour cette distinction insigne (1). Il faut dire que la pandémie de la COVID-19 a depuis un an considérablement mis en vedette les activités de confinement telles le jardinage, et que le jardin de papi Jo est très bien placé pour remporter le titre. En effet, le jardinier a toujours su bien mener sa barque, il a évité de naviguer en eaux troubles, et a fait sienne cette belle devise « Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. » (2)
(1) D’après ces sources dignes de foi : Le Monde, Le ministère de la Culture, Le Gorafi, Ouest-France et ma boulangère.
(2) Que l’on pourrait paraphraser ainsi : « Quand un être humain a soif de beauté, mieux vaut lui apprendre à cultiver son jardin que de lui donner un bouquet de fleurs.«